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Coucou du vendredi, haïku, senryû, dans ses petits souliers...
Traverser la vie
du chausson au godillot
Pieds devant partirCaca'tastrophe
un besoin dans le besoin
Au bout du rouleauÔ ne plus être
la femme mais une nonne
Ainsi le soit-ilPrendre son pied
à deux dans un tango
C'est chose sûrePosture fâcheuse
perdre pied tendre la main
Un coup de pompePieds et poings liés
dans sa condition pas rose
Vendeur de violettes
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Commentaires
Très très beaux! Le vendeur de violettes... larmes aux yeux! Je lui achèterais tout plus une paire de chaussures et des chaussettes!. Oui, je suis remontée au-dessus pour relire et revoir!
Bonne soirée,
Gisèle
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Lundi 9 Mai 2016 à 02:26
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77nanouVendredi 6 Mai 2016 à 20:16J'aime bien les petits chaussons dans les godillots: l'image est sympa et la symbolique pleine de réalité! un petit 'bon point' aussi pour la 'fausse None' ; je lui trouve un faux air d'Elodie Frégé ... et c'est tout dire: un visage à se faire 'donner le bon Dieu sans confession' mais auquel il ne faut pas se fier!
Bises; Simone
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Vendredi 6 Mai 2016 à 21:43
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Génial! Du grand Jill qui a affûté sa plume et dont le verbe vrombit comme on aime!
Le petit vendeur de violettes, je l'aime beaucoup... Cette toile m'avait particulièrement marquée pendant mes études d'histoire de l'art. En écho, une scène issue de Pot-Bouille de Zola m'avait fait le même effet, presque un goût de sang dans la bouche. Grosses bises et bon week-end. J'espère que vous avez un aussi beau soleil que celui qui brille ici. Cendrine
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Vendredi 6 Mai 2016 à 18:45
Et bien merci Cendrine, que dire d'autre pour ce beau compliment... Oui cet enfant exténué de fatigue, de faim etc fait pitié à voir, on a envie de le prendre avec soi en plus d'acheter toutes ses violettes ! Merci, à toi aussi, oh une une belle journée ici et le W-E s'annonce pareil, on risque l'orage dimanche soir, ah quand c'est trop beau !!! Bises de JB
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Une fois de plus je prend mon pied à lire cet haïku, qu'il ne faut pas, bien-sûr, prendre au pied de la lettre... et qui ne mérite aucunement un pied de nez...
Je me prosterne donc à vos pieds chère Jill Bill pour que vous acceptiez cet humble commentaire, en espérant ne pas passer pour une casse-pieds.
Bisous
Maryline
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Vendredi 6 Mai 2016 à 16:23
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Ce qui m'est venu tout de suite en te lisant : Ce n'est pas possible, j'ai toujours l'impression que celui qui vient est encore mieux que le précédent.
Bon après-midi.
Il faut que je plonge dans le conte !
Bises4
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Vendredi 6 Mai 2016 à 16:22
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60Sofya*Vendredi 6 Mai 2016 à 12:57J'adore jill , comme toujours illustration et mots superbement adaptés .
La cacas'trophe demande beaucoup de prévention pour l'éviter , c'est bizarre amais j'ai remarqué que c'est toujours sur moi que ça tombe si je n'y prends pas garde , l'homme de la maison est souvent dans la lune ....
Bonne journée
Bisous
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Vendredi 6 Mai 2016 à 11:15
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Que je les aime, tes poèmes, sur ce thème !!!! Humour et émotion dans les textes et/ou les illustrations ...Gros bisous Jill ...Bonne journée et soleil ....Clio.
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Vendredi 6 Mai 2016 à 09:09
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ah oui le pied marin pour moi
mais pas celui trop long de BERTHE
BISES JILL
j 'ai des ailes aux pieds et m 'en vais à la ville ce matin lol
bonne journée
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Vendredi 6 Mai 2016 à 08:25
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Bonsoir Ma Grande
Ta pris ton pied pour cet article, moi aussi ^^
Changer de caleçon ça dépend, ça peut aussi tenir chaud
En tout cas, si les choses sont c'est pas forcément des choses sûrs
Bonne Soirée Ma Duduche
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Vendredi 6 Mai 2016 à 02:39
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42elianeVendredi 6 Mai 2016 à 00:08prendre son pied en dansant un tango !!! pourquoi pas !
demain nous descendons à Royan , voir M'Annette !
bonne semaine et bises de nous deux !!
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Vendredi 6 Mai 2016 à 02:36
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Tout me plaît !
Bravo, jill... c'est très beau.
Merci aussi Quichottine !