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L'imbu...
L'imbu...
J'étais p'tit voilier
Bleu roi
Jeune prince intrépide
Se riant
Des ont dit
Quant à la mer...P'tit voilier j'étais
Comme un grand
Sur les flots
Imprévisibles
Fétu de paille
Dans la tourmente...Défier Poséidon
Etait-ce bien malin
Pauvre naïf
Quand la vague hautaine
Avec force
Rabat le caquet
Même des plus maous...J'eusse dû
Me contenter du ruisseau
Telle coque de noix
Quand on est sourd
Aux recommandations
Imbu de sa personne
Qui a bu la tasse...jill bill
Pour l'Herbier de Poésie à voir chez Adamante
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Commentaires
Re-moi (eh oui, encore ! )
Tout ce que je peux dire, après lecture de ce texte (bien envoyé !), c'est que certains politiciens devraient en prendre de la graine !!! Na !!!
Très bonne fin de soirée, bonne nuit, bon lundi. BISES de FP
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Lundi 21 Novembre 2016 à 01:29
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Ton texte colle à la toile qui d'ailleurs est très belle aussi
Curieusement pas de NL ce jour c'est récurrent chez ecklablog et overblog pfff
bonne soirée Fabienne
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Samedi 19 Novembre 2016 à 00:14
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47mamazertyVendredi 18 Novembre 2016 à 15:48imbu...un mot que je n'emploie plus guère mais je n'en pense pas moins....mais dans ton histoire si on est trop souvent conscient de ses limites, sûr qu'on ne se dépassera jamais...Bon week end Jill, bisous
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Vendredi 18 Novembre 2016 à 19:14
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Frêle esquif sur les flots déchaînés, tu aurais mieux fait de te laisser bercer par les courants légers... Marin d'eau douce qui a voulu affronter la mer contre vents et marées... te voilà touché, coulé!
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Vendredi 18 Novembre 2016 à 12:55
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35BalalineVendredi 18 Novembre 2016 à 11:3831jamadrouVendredi 18 Novembre 2016 à 10:17
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Nous ne sommes pas tous comme le roseau hélas, qui plie mais ne rompt pas!
Ah par moment... si madame la pharmacienne ! Ne fut-ce que dans la maladie...