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La noyée...
Atelier d'écriture n°4 de Ghislaine
Mots en imposé, thème la pluie...La noyée...
Est arrivé la rupture,
Elle avait échoué
Après avoir étouffé
Dans cette relation amoureuse
Rapide comme l'éclair
Trop sans doute...
Une ecchymose, puis deux
Trois ;
Il avait osé lever la main
Sur sa frêle personne,
Plus la force
De l'aimer ivre, mort,
Plus facile dans le fond
De se jeter à l'eau
Du haut d'une falaise
Quand faiblir n'est plus tenir...Un soir, sous la pluie,
Mouillée de larmes aussi
Au hasard des rues
Elle courut, courut
A perdre le souffle
Chaussée de pantoufles...Un soir, sous la pluie
Bouleversante, anéantie
Au hasard d'un pont
Ressemblant à une souillon
Elle enjamba la balustre en fer ;
Deux lignes dans les faits divers...jill bill
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Commentaires
bonjour Maîtresse... Je me dépêche, je vais au jardin pour nettoyer mes pauvres fleurs meurtries par la pluie et arracher les herbes qui envahissent les framboisiers... ET puis un travail de grand mère m'attend peut-être que Pantaléon en fera les frais.. bises
Vite vite ma Marjolaine
https://lilousoleil.wordpress.com/2016/06/22/prenom-marjolaine
avec le sourire
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Mercredi 22 Juin 2016 à 09:03
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En lisant le titre j'ai d'abord pensé à la petite noyée de Berck, à cause du procès qui a lieu en ce moment. Mais, finalement, on n'en est pas si loin. Tant de vies à la dérive en ce monde...
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Mercredi 22 Juin 2016 à 00:02
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Bien écrit mais super triste...Je suis toujours au ralenti, mon dos m'oblige à éviter la position assise, de plus (si tout va bien car là j'ai chopé une infection avec tous ces traitements immunosuppresseurs) je me fais opérer la semaine prochaine et là je ne pourrai pas rester assise durant 1 mois, snif, bisous.
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Mardi 21 Juin 2016 à 21:45
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Pas bien facile ce nouvel exercice chez ton amie , mais bon essayons de faire quelque chose de cohérent pour un rapide retour sur mon blog:
voilàPrévu en Manche depuis le matin par le Cross Corsen, l'orage arriva
Après un coup de tonnerre étouffé sur fond de ciel chargé de nuages noirs
un éclair au loin zébra l'horizon
Soudain des trombes d'eau se mirent à tomber sans faiblir un seul instant
et, venant du large une vague gigantesque entraina avec force la coque d'un vieux morutier échoué depuis longtemps sur les galets contre la falaise du Tréport
où il se fracassa dans une affreuse et dernière plainte...
Quand la marée se retira, il ne restait rien du voilier magnifique qui ne comptait plus les ecchymoses données par le temps et les éléments
et qui allait fièrement, là bas, côtoyer les iles de Saint Pierre et Miquelon pour les saisons de pêche...-
Mardi 21 Juin 2016 à 12:29
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Quel beau texte très touchant sur un fait de société vieux comme le monde...
Des femmes détruites par des hommes violents, des conditions de vie insoutenables et un jour, l'impression que la seule solution pour s'en sortir est d'en finir...
Ces situations me bouleversent...
Bisous
Maryline
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Mardi 21 Juin 2016 à 10:55
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Je crois que, ^pour beaucoup, deux ligne et encore dans les faits divers, cela ne vaut pas plus.
Et encore, on en parle maintenant. Je sais qu'ici, le tribunal condamne assez fort ces gestes, ainsi que l'inceste. Et tant mieux.
J'ai connu un monsieur battu.
Si tu le permets, je vais répondre à "dineavecssandrine". Je pense qu'elle n'a pas connu le fond du désespoir pour dire ce qu'elle pense. Elle a raison de penser ainsi, je l'ai pensé aussi ... mais un jour pas fait comme un autre, sans réfléchir du tout, on peut franchir le pas. Il peut y avoir l'acte irraisonné, c'est tout. Et oui, la vie vaut le coup d'être vécue, et oui, elle est belle.
Ta poésie est très belle, pleine de sensibilité et d'amour pour le prochain.
Et la pluie continue ! Je vais finir par acheter un sèche linge !
Bises4 Jill
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Mardi 21 Juin 2016 à 10:53
Ces choses qui se passent en famille, ces choses malsaines... pauvres de ceux qui subissent... Un homme battu eh oui ça existe, sans doute moins, mais... des femmes fortes qui ont le dessus ! Oui comme tu dis un jour plus bas que les autres, on saute, on se pend, on se tue pour en finir, songeant que les lendemains reviendraient pareils... Courageux et lâche à la fois en dit-on, je ne dis rien, c'est triste tout simplement ! Merci pimprenelle, ah pas mieux, j'ai depuis longtemps un sèche-linge, pour l'hiver, mais là.... Bises4
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Je reste très perplexe devant tel geste désespéré... La vie n'est pas facile, c'est sûr, mais il y a toujours moyen.... Car si la vie n'est pas facile, elle est aussi merveilleuse... Il faut se battre pour la vivre!!!
bises sous un temps maussade et humide.... Hier grand beau, c'était l'été, mais déjà c'est fini?!!!
Dine avec Sandrine
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Mardi 21 Juin 2016 à 10:34
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Hélas !
Tu soulignes ici l'un des travers de notre société... Il n'y a rien de normal à battre sa moitié.
Et deux lignes dans la rubrique des faits divers... c'est terrible pour résumer un drame.
Merci pour ce poème plein d'émotion, jill. J'ai aimé.
Passe une douce journée. Bises.
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Mardi 21 Juin 2016 à 10:32
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Bonjour Jill Bill,
Un poème très dur mais qui hélas peut être un horrible fait divers mais qui t'as permis de caser tous les mots imposés. BRAVO !
Bises bien amicales.
Henri.
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Mardi 21 Juin 2016 à 10:31
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Bonjour Jill... Eh oui, que dire... Terrible ! Mais peut-être, en effet, qu'en finir de cette façon, c'est une sorte de "délivrance"...
En tout cas, les mots imposés pour cet exercice ne t'ont pas fait peur et tu leur as trouvé la place qu'il faut ! Bravo.
Belle journée (c'est l'été, il paraît...), BISES.
FP
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Mardi 21 Juin 2016 à 09:24
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Bonjour Jill,
Sort de beaucoup de nos consœurs qui ne finissent pas toujours aussi mal. Une situation que les médias finissent pas pointer du doigt malgré tout. Beau défi en y plaçant tous les mots de Ghislaine. Bravo !
Bises et bon mardi - ZAZA
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Mardi 21 Juin 2016 à 09:22
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BIEN BIEN DIT
triste quand même d' en arriver la
alors que des petits cours de self défense en douce
et le marron ne sera pas sur le grill mais dans la figure du donneur de baffes loll
signé Monica la guerriére MDR
kénavo Jill
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Mardi 21 Juin 2016 à 09:20
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Bonjour JB je ne suis pas loin de faire la même chose mais je sais nager alors cela ne marchera pas je vais plutôt me pendre ,sur ces paroles hilarantes je te souhaite une bonne journée bien arrosé évidement
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Mardi 21 Juin 2016 à 09:18
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Tristesse que conjuguent tes mots mais la vérité est hélas criante , trop souvent dans ce monde qui va mal, toutes les excuses sont bonnes
Bise et belle journée à toi
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Mardi 21 Juin 2016 à 09:16
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très très dur ton texte mais la réalité ne l'est-elle pas ? Ne jamais oublier qu'elles sont nombreuses et trop nombreuses à connaître ce sort...
mon sourire pour commencer cette journée toujours pluvieuse...
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Mardi 21 Juin 2016 à 06:51
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Combien de femmes sont victimes quotidiennement de la violence de leurs conjoints et meurent sous les coups ou se suicident et dans ce dernier cas les maris ne seront pas punis par la justice. Ton poème m'a émue. Bises
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Mardi 21 Juin 2016 à 06:43
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Bonjour Dame lointaine ..
Un drame bien triste a imaginer et comprendre pour en arriver a ce point , alors mon amie , tu aurais pu trouver une fin moins tragique et plus romantique , non ? ( sourire) Bonne journee Dame Jill , Nous rentrons demain ..
Amitié des US ..
Bisous ..
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Mardi 21 Juin 2016 à 06:43
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Et c'est hélas la réalité que tu décris.........Les femmes battues.J'étais de celles çi avant qu'sursaut de révolte s'empare de moi et là plus jamais !!
Merci Jill de ta participation tres appréciée
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Mardi 28 Juin 2016 à 11:01
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Mardi 21 Juin 2016 à 06:40
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64kpriceMardi 21 Juin 2016 à 03:44Coucou Tite Jill ...
L'émotion te va bien ... aussi ;)
Bisous Tite Jill (chuuut ... sur la pointe des pieds ;) )-
Mardi 21 Juin 2016 à 06:39
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Bonsoir Ma grande
Qui aime bien, châtie bien
Tu comprendra donc que je fait tout pour qu'on me déteste ^^
Ha j'avais pas pensé qu'on pouvait aussi se venger
Elle à p'tre cherché aussi, non ?
Passe Une Bonne Nuit Ma Duduche
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Mardi 21 Juin 2016 à 01:08
Bonsoir "Nut".. ah la faute aux deux dit-on souvent... La violence ne résout rien et lever la main sur l'autre à la longue... Là tu vas te faire huer par la gent féminine avec ta phrase qui aime bien.... Mettre son bonhomme à bout, faut déjà sacrément être une sale bonne femme... allez bonne nuit mon p'tit... signé la duduche qui est pour la paix des ménages !
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Un poème très bien écrit et aussi triste et noir que le paysage...
Merci Brigitte !