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le temps...
Pour la communauté : « Les Croqueurs de Mots »
Jeanne fadosi à la barre n°154
Quinzaine du 9 au 22 novembre 2015
Pour les jeudis/poésie thème laissé libre ou le temps...Le temps...
Le coffre en sapin
De la pendule
Est le cercueil
Du temps perdu...Le passé, le vécu
Nous en portons le deuil
Point virgule ;
Tic tac, tic tac, on ne remonte rien !jill bill
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Commentaires
Dans les évènements tragiques que nous vivons aujourd'hui ton texte prend toute sa valeur.
Ton poème est très beau.
Bises attristées.
Domi.
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Dimanche 15 Novembre 2015 à 07:49
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Coucou Tite Jill ...
A vouloir enfermer, même le temps, on le perd ...
Une belle interprétation de la comtoise (dorénavant je ne verrai plus la mienne de la même manière).
Peut-être est-ce mieux de ne pas remonter le temps passé ... de toute manière quoiqu'il en soit, la seconde suivante on l'a déjà perdu, et on n'y changera plus rien.
Bisous Tite Jill ... tic tac tic tac ... c'est l'heure de faire dodo
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Vendredi 13 Novembre 2015 à 05:31
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Il n'y a pas de temps pour l'amour même quand il fait gris. Il n'y a pas d'heure pour s'aimer, aimons nous tout simplement sans passions, sans pression même si parfois il faut affronter des jours difficiles. L'amour est bien plus fort que la mort. Bisous tendres-
Jeudi 12 Novembre 2015 à 20:16
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Et oui chère Jill ... Tout est affaire de temps ! ... je ..tu ..il ou elle .... bref nous... courrons tous après le temps ! il va plus vite que nous pourquoi lui courir après ? ... Le cercueil du temps est pourtant si joli ... Au fait ma Jill ... rassure moi, la photo est de travers ... ou bien c'est moi qui suis penchée ... humm si c'est moi ça sent le sapin pour moi aussi alors.. rien de bon dans tout ça !! Bises à toi ma chère Jill ! sylvie@ http://atelier63silenceellecree.com
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Jeudi 12 Novembre 2015 à 18:43
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hello
je suis contente
souvent je ne peut pas poster chez toi
et ne sais d ou cela proviens ( tu n est pas le seul blog à grr
moi qui n est jamais le temps
qui à une pendule dans la tête eh oui on me le dit
je cours , je court le temps me poursuis
bises Jill
kénavo
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Jeudi 12 Novembre 2015 à 18:12
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Mais... c'est vraiment bien! Tout: la pendule... l'horloge, le texte ...le poème, l'idée... fallait y penser ! Tiens, j'y retourne au dessus des 29 "com" qui expriment leur admiration. J'y vais... à toute!
Oui LE TEMPS
Bonne soirée (y fait nuit!: le temps passe vite)
Gisèle
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Jeudi 12 Novembre 2015 à 17:31
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Bonjour Ma grande
Pas de temps à perdre et pourtant j'ai rien à y gagner ^^
Avoir trop de temps c'est pouvoir se lamenter donc moins y'en a et plus on en profite
Y'a que les vieux qui peuvent comprendre qu'il y'a un temps pour tout
Le tic et du tac ^^
Bonne Journée Ma Duduche
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Jeudi 12 Novembre 2015 à 17:30
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Bonjour Jill...
"Le coffre en sapin de la pendule est le cercueil du temps perdu"...
Que c'est bien trouvé comme formule, très poétique ! Ah ! Le temps file, inlassablement, il se perd dans les secondes trépassées, pas de touche "rewind" pour revivre les moments à jamais enfermés dans l'armoire aux souvenirs, il ne reste qu'à y penser, aux heures nostalgiques. Mais avant tout, goûter au présent qui nous entraîne vers demain.
Bonne journée, et comme dirait Rafaël : carpe diem.
FP
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Jeudi 12 Novembre 2015 à 13:56
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tout est dit en ces quelques vers dans de belles comparaisons
j'admire et j'adhère
(sauf que je ne sais pas comme toi le précéder et suis plutôt du genre à procrastiner)
bises et belle journée
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Jeudi 12 Novembre 2015 à 11:45
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Coucou Tite Jill,
C'est peut-être pour cette raison que je n'aime pas " le cercueil du temps perdu " , je n'aime pas son "ding dong " qui rappelle un passé mal vécu ...
Un très bel écrit , Fabienne et l'illustration si bien choisie correspond parfaitement à ta pensée , à la mienne aussi .
Gros bisous.
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Jeudi 12 Novembre 2015 à 11:43
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Bonjour Jill Bill,
J'ai bien aimé ce joli poème sur le temps, tu as réussi à trouver les mots, super !
Bises bien amicales, merci pour tes gentils commentaires et BRAVO !
Henri.
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Jeudi 12 Novembre 2015 à 10:22
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Hello,
Bravo ! très joli et tout et tout.
Cela mérite bien un peu de Virgile...
Sed fugit interea, fugit inreparabile tempus, singula dum capti circumvectamur amore.
Mais en attendant, il fuit : le temps fuit sans retour, tandis que nous errons, prisonniers de notre amour du détail.Bisous intemporels ;-)
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Jeudi 12 Novembre 2015 à 10:20
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Bonjour Jill. Magnifique poème, impitoyable constat sur ce temps que nous ne maîtrisons pas. Peut-être un jour aurons-nous un autre rapport avec ce temps, que nous comprendrons mieux. Je me suis attaquée à la lecture de Cosmos de Michel Onfray, pavé de plus de 500 pages mais très agréable à lire, où il étudie le temps en long, en large et en travers. Il en fait le siège, il le cerne mais la forteresse est toujours là, même s'il en fait quelque chose de familier ! Bizzz.
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Jeudi 12 Novembre 2015 à 10:15
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une fois qu'on est là oui on avance, rien d'autre à faire, jusqu'à son point final quelque part devant....je te paraphrase, c'est mieux dit par toi, mais çà fait davantage peur....Bisous Jill^^
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Jeudi 12 Novembre 2015 à 10:14
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58MartineJeudi 12 Novembre 2015 à 08:20Alors là, tu t'es surpassée!! C'est vraiment excellent! "le cercueil du temps perdu..." C'est GENIAL! "Le passé, le vécu, nous en portons le deuil"... Oh la la, c'est du grand Art là, madame!!! :D Félicitations! J'ADOOOOOOORE!
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Jeudi 12 Novembre 2015 à 00:38
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Toujours aussi créative, Fabienne ! J'ai une comtoise et j'aime son balancier qui rythme le temps. Mes chats l'adorent et ma petite-fille la regarde avec curiosité. Bisous
Tant que la passion m'anime Brigitte... ah bien ça... je l'image oui !! Merci, bises de JB