• Jeanneton, en chanson...

    Pour la communauté la cour de récré de JB

    Ma participation

     

     

    Jeanneton, vue par une blonde...

     

     

    Jeanneton prend ses faux cils

    « ... sa faucille... ! »

    La rillette la rillette

    « ...Lalirette lalirette... ! »

    Pour aller couper les ponts

    « ... les joncs... ! »

     

    Dis-moi ma fille

    A l'école que t'apprend-on... ?

    Ben qu'en mille

    Faut se méfier de 4 beaux garçons !

     

    Surtout du quatrième

    Qui les Jeanne dépucelle...

     

    Allez-donc couper les ponts

    Gonzelles d'Orléans

    Armées de vos faux cils

    Si les hommes sont des cochons

    C'est pas pour autant

    Que ça déplaît aux filles...!

     

    « ... mon dieu, mon dieu... ! »

     

     

    jill bill sarcastic

     

    Jeanneton, en chanson...
    Nextews

     

    Pour le mercredi 3 octobre 2018

    Le prénom suivant sera «Eusébio» (masculin) 

    Que l'inspiration soit avec vous

    Et le plaisir de lire vos personnages avec nous.

     

    Bien cordialement de la part de m'dame JB

     

    Jeanneton, en chanson...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    30 commentaires
  • La Grand'Terre...

    Pour l'Atelier d'Ecriture 72 chez Ghislaine

     

    Un texte avec « paysan, contraire, version, mélodrame,

    signe, pensée, loisir, salon »

    Ou avec 5 mots contenant ERS dedans.

     

     

    La Grand'Terre...

     

     

    Tout l'contraire, l'inverse d'universitaire

    Il est resté paysan l'Gaston Dominichi,

    Mais « cultivé » hein !!

    Version vieux d'la vieille... tout à la main et au sabot !

    Brave Juju que sa jument, comme la Marie...

    Oh pos un mélodrame té,

    Sa ferme lui paye tout, même l'sel...

    Certes côté loisir, morne prairie, plaine !

    L'amusement est affaire du oisif, comme la pensée pardi !

    Le soir au salon ça écoute l'poste T.S.F.

    Surtout la météo qui fait l'averse et l'beau temps !

    Ca s'verse la prune,

    Ca s'essuie d'un revers de manche,

    Et puis ça s'signe à table, croix sur la miche,

    Saindoux et soupe aux choux...

    Ses gars, l'Gustaf et l'Clovis, rêvent de ville, deux vaut rien !

     

    Et si c'est pos l'paradis

    C'est pos l'enfer nin plus sur la Grand'Terre...

     

    Et pis, en 52, ces anglais sont arrivés... pan, pan, pan !!!

    Silence de mort sur la ferme, l'Affaire commence...

     

     

    jill bill sarcastic

     

    La Grand'Terre...
    L'affaire Dominici, cinéma 1973

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    31 commentaires
  • L'innocent...

    Pour la communauté les Croqueurs de Mots

    JB à la barre 208

    Quinzaine du 17 au 30 septembre 2018

    Thème du lundi 24 septembre "Je suis innocent !"

    "saint-frusquin, échafauder, alcades en imposé"

     

    L'innocent...

     

     

    Je suis innocent

    « Ma tête à couper »

    Clame Guy Ottine...

    Je suis innocent

    Je n'ai tué

    Ma vieille tantine...(à sucre)

     

    Je n'ai échafaudé de plan

    Je le jure, fort et haut

    Maître...

    Je suis innocent

    Comme l'agneau

    Qui vient de naître...

     

    Ne me fusillez du regard

    Les alcades et bourreau

    En chenapan...

    Saint-frusquin de bagnard

    Et ses barreaux

    Ne mérite, foi d'innocent... !!

     

    Seul héritier, et alors

    Coupable suis tout désigné

    Ma tante a chuté, voilà tout... !

    Et si me revient son or

    Que me jalouse qui je ne sais

    J'en ferai don, voilà tout... !

     

    Mais par pitié, mon baveux, (langue bien pendue)

    Délivrez-moi

    Dans votre jargon

    Sur mes aveux

    Sur ma bonne foi

    De la prison... !

     

     

    jill bill yes

     

     

    L'innocent...

     

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    37 commentaires
  •  Désuétude...

    Pour le petit jeu de lettres du dimanche chez Lady Marianne

    Règlement à voir chez elle ICI

     

    AEEIONPRRSTT = Patenôtriers

     

     

    Désuétude...

     

     

    Il nous fout les boules le père

    A fabriquer encore, serein, des chapelets, ô misère...

    (Patenôtrier

    Quel désuet métier !)

    On en vit plus, on a beau dire

    Il répond « On va s'en sortir »...

    Justement, faut s'en sortir pardi

    Faire dans la perle en bijouterie !

    Les églises sonnent creux

    Les « brebis » ont d'autres dieux...

    Mais le vieux bougre s'entête

    A en perdre la tête !

    Comme possédé par le démon

    Crénom de nom !

    Entrepôt plein de grains

    Qui ne se mange point...

    Certes Lourdes est demanderesse

    Point tarie en bigotes friandes de messe

    (Sirotant leur eau, bénite

    Miraculeuse, si vous l'dites !)

    Qui à petits trots, piano, piano, asthmatiques

    S'offrent rosaire en boutique

    (Sensuel trésor à tripoter, veuvage oblige)

    Et Vierge en bouteille

    Comme d'autres sapin à la Noël...

     

    Ô notre saint père

    Nous vous en prions

    Sans vous jeter la pierre, enfin le grain,

    Vendez de la pomme d'amour à la foire

    Là sont les gens de nos jours... !

     

     

    jill bill yes

     

    Désuétude...
    Pinterest

    Voici celui de Lady M... UNE mais grosse commande glasses

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    24 commentaires
  • « Le mari de mon père » par Sherazade de MILETUNE

    Quatrième de couverture

     

     

    Homosexualité refoulée dans un milieu bourgeois catholique, chose très mal vue pour un mâle, mon père, gay, pas de gaieté de coeur, dû épouser une fille de bonne famille à qui il cacha (et les siens) bien son « je » double.

    Il en eut deux garçons et une fille, moi, Anne-Lison-Béatrice.

    Le mensonge comme le vernis est une chemise pas de la bonne taille qui finit par craquer un jour...

    Divorce et concubinage avec l'homme de sa vie !

    Le mari de mon père, un p'tit abbé de campagne, défroqué, l'avait attendu comme on attend le messie, avec patience et croyance.

    Un bon ami d'enfance qui entra dans les ordres faute de mieux avec mon géniteur.

    Une fois en ménage ils tinrent une galerie de peintres androphiles.

    Pas que coiffeur et couturier !

    Je disais père à l'un et mon père à l'autre...

    Quant à mère, après aveux et abandon, un coup dur, elle tenait à l'oeil ses fils, sans penser que moi, sa fille...

     

    jill bill

     

     

    « Les codes du loup-garou » par Sherazade de MiLETUNE

    Quatrième de couverture

     

     

    Gare au loup-garou, ce lycanthrope a sa vie, ses règles, son évangile, sa loi, ses codes, bien à lui, la nuit... !

    Légende ou folklore, croyez-vous... Non, il existe bel et bien cet homme qui se transforme hideusement suite à une malédiction inconnue, sous la lune pleine, féroce mangeur cannibale, dissimulé au bois.

    Le mien, oui, le mien, était apprivoisé, ne dévorait que les pâtisseries, certes à base de sang, que je faisais croire, les fruits rouges salés en donnant l'illusion.

    Voici mon, son histoire, ayant réussi a en changer les codes, pas sans mal, aïe, j'y ai laissé un bras. Pour le village un bête accident de chasse, on m'appelle depuis le manchot…

      

    jill bill

     

     

    «La haine d'un stagiaire » par Sherazade de MILETUNE

    Quatrième de couverture

     

     

    Embauché à l'essai dans une usine de papier hygiénique tendance parfumé, le nouvel arrivant, Laurel, son air pas hardi, est abusé par sa hiérarchie qui le surnomme, tel chaque nouveau arrivant dans la firme Pique, p'tit trou duc, servant de bonniche, ce qui irrite et en chasse plus d'un, qui se tire !
    Maudite tasse en porcelaine blanche à remplir selon leur bon plaisir...
    A la place de la cuillère il touillerait bien dedans avec un goupillon...
    Mot de Cambronne ! Las, au bout du rouleau un matin, que faire...
    Trouver un cabinet d'avocat, non, dans son p'tit coin, en faux cul, il déroule un plan le p'tit canard noir...

      

    jill bill

     

     

    « Le soir de l'immonde » par Sherazade de MILETUNE

    Quatrième de couverture

     

     

     

    Elle s'appelait Sabine, marie couche-toi-là, et fut enlevée par un justicier de la pureté morale, un autre Jack l'éventreur, un client d'apparence comme les autres et sans méfiance se laissa payer pour la chose, un soir de tapin sur le trottoir...

    A l'appel il manquait Julie la rousse, l'italienne posée, dite Mona Lisa, et puis la Madeleine dite Madelon, la préférée des militaires.

    Qu'importe ses peurs, faut que l'argent rentre, si j'ose dire, le souteneur y veille !

    Il se racontait que la Sabine avait dû subir le même sort, égorgée, étripée, démembrée, quelque part en forêt du Massacre, cet endroit aussi sombre que derrière les yeux clos d'une morte...

     

    jill bill 

     

     

    "Le dortoir des infidèles" par Sherazade de MILETUNE

    Quatrième de couverture

     

     

    Un pensionnat en ruines, ses vieux fantômes, fidèles à l'endroit envers leur dortoir, celui des pubères infidèles, qui retournaient leur veste, changeant comme la lune, punissable !!

    Comme on enfermait les jeunes filles mères, loin de la vue du quand dira t-on...

    Des infidèles placés, détenus, dressés à êtres fidèles, à garder la veste, avec des façons d'Auberge Rouge, couic, si récalcitrants...

    Aux familles on servait alors la fugue !

    Un seul survivant, un seul, pour en témoigner, Désiré Lambru, concierge de l'innommable...

     

     jill bill

     

     

    "Le cantique des malades" par Sherazade de MILETUNE

    Quatrième de couverte

     

     

    Après-midi à la flûte et coupe de champagne...

    La marquise de la Pompe à Bras est soi-disant souffrante, soit, elle garde la chambre, pas la robe, et le médecin faussement solennel qui va avec !

    Il s'en donne du mâle pour soigner sa solitude, son mari de marquis trop à faire en parties de chasse, les fesses en selle, il n'a d'yeux que pour d'autres biches...

    L'occasion fait les larrons, en foire, marquise et médecin s'en donnent à corps joie ! Croquent la pomme d'amour...

    Et si soudain un «Ciel, mon mari !!» la tenture sert de placard et la marquise se remet à lire, un cantique au lit, faussement sainte-nitouche...

    Mais un soir la chose se découvre, tout à la chose, les amants vont subir un châtiment digne des enfers, d'un Barbe Bleue parbleu...

     

     

    jill bill  winktongue

     

      La rentrée littéraire façon MiletUne...

     Pour l'Atelier d'Ecriture MiletUne

    La rentrée littéraire, à nous d'écrire le quatrième de couverture

    Choix parmi ces livres...

    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

    24 commentaires