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Revers de fortune...
Revers de fortune...
Un va-nu-pieds
Job tu deviens
Quand la misère
Te marche dessus
Après avoir marché
Sur l'or
Vécu dans le cuir...
Les jours en noir et blanc
Se dessinent
Très pauvrement
Quand le sort
Retourne sa veste
Et que lassé
De tendre la main
Aux enc'or riches
Tu finis par te rendre
Usé, à la corde...jill bill
En partage sur un dessin de Tilk
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Commentaires
vu à Paris un homme venant apparemment du continent indien,qui marchait pieds nus,alors qu'il faisait froid; il avait juste dans sa main une casserole vide...C'était tellement surréaliste que le temps que mon cerveau enregistre cette image sortie d'un mauvais Chaplin,il avait disparu d e mon regard...je lui aurais au moins acheté une paire d e tongs...il avait un tel regard ....
C'est ainsi pour tout le monde!
(Tu as de vilaines pubs sur ton blog, tu devrais te plaindre à eklablog,
c'est pas normal que de telles arnaques circulent sur les blogs)
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Samedi 28 Mai 2016 à 20:49
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un dessin et un poème qui vont bien une fois de plus l'un avec l'autre. ceci dit il y a des revers de fortune qui restent très supportables quand d'autres pauvres ne l'ont jamais connue (la fortune) bises et belle fin de semaine
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Samedi 28 Mai 2016 à 19:41
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On dit: trouver chaussure à son pied... Là elles le sont forcément ;-)
Mais je ne souhaite à personne d'en arriver là...
Comment peux tu arriver à trouver chaque jour autant d'idées et à les mettre en texte!
Tu m'épates!
bisous
Maryline
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Samedi 28 Mai 2016 à 17:29
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39florenceSamedi 28 Mai 2016 à 17:18Florence - Testé pour vous
Bonjour...ah oui, les revers de fortune...ou les mauvais coups de la vie qui peuvent laisser sur le carreau, sans le sou, sans bottes ni chaussures ou alors si élimées que c'est comme si elles n'étaient pas là...ah oui, ça peut arriver à tous, très vite...ça fait peur quand même hein ?
Comment vas tu ? Bien chaussée ? ;-) Perso, je suis pieds nus..si, si, car il fait 28° et j'ai envie de laisser mes pieds profiter de cette bonne chaleur...sont contents mes pieds...surtout qu'ils pourront bientôt se couvrir lorsque la fraîcheur du soir va arriver ;-)
Je pars demain pour Agde...absence indéterminée, qui dépendra de la santé de mon papa..je te dis à très très bientôt et passe de belles belles journées...et profite donc de mon absence pour passer le cirage sur les chaussures du placard...non non, pas sur les baskets...mais sur les autres...et que ça brille hein ! ;-) ;-) :-)
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Samedi 28 Mai 2016 à 17:26
Bonsoir Florence... Une poire pour la soif, si celle-ci ne s'éternise pas !!! Nous avons sur Bruxelles où je suis pour huit jours un temps agréable ce jour, oui nus pieds dans mes claquettes !! Ok je vois... la vie avec ses hauts et ses bas... La brosse à reluire, de nos jours mais qui cire encore... !!!! Allez à plus tard... jill
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Eh oui! Personne ne sait de quoi seront faits les lendemains ...
Mes bises dans ton week end Jill, bonne fête des mamans en retard, je n'ai pas prêté attention qu'en Belgique c'était avant nous alors que nos jeunes en Angleterre me l'ont fêtée le 6 Mars .
Le principal est d'y penser ... mais les enfants sont gentils avec nous tout au long de l'année , un vrai bonheur.
A plus Jill !
Nicole
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Samedi 28 Mai 2016 à 15:55
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Magnifique partage. Très émouvant aussi quand on pense au nombre de plus en plus grand de personnes qui sont dans la rue...
Passe une douce journée malgré tout, jill.
Bisous
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Samedi 28 Mai 2016 à 12:00
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Bonjour Fabienne,
Le drame, tous les jour pauvreté et misère ne cessent d'augmenter et l'on voit mal comment cela pourrait s'améliorer.
Bises bien amicales.
Henri.
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Samedi 28 Mai 2016 à 11:45
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Bonjour Fabienne. Nous ne sommes aucun à l'abri de ces revers de la vie. Les pieds dessinés par Tilk sont émouvants tout comme tes mots.
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Samedi 28 Mai 2016 à 11:18
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Dure la vie
un proverbe dit:
Seule la chaussure sait
si la chaussette a des trous.
Apostille: à condition
que les godasses ne soient pas malheureusement dans le même état naturellement!!Plus sérieusement et tristement
du vécu
Il fut un temps lorsque le Samu Social relevait un chemineau dans le pire état que l'on puisse imaginer, les personnes soignantes ne déchaussaient jamais comme ça sans précautions le pauvre hère qui n’ôtait pas ses chaussures même la nuit de peur de se faire voler par plus pauvre que lui: elles trempaient très longtemps les pieds chaussés dans de l'eau tiède savonneuse pour ne pas arracher le peau et la chair qui à la longue, collaient aux chaussettes et chaussures...
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Samedi 28 Mai 2016 à 11:17
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Il ne fait pas encore bien chaud pour ce genre de chaussures. Pour les pubs, tu ne les vois plus parce que tu es connectée à ekla, moi je les vois. Sur mon blog cuisine ekla, quand je suis connectée, je ne vois pas les pubs (du mien) dès que je me déconnecte, pouf, elles réapparaissent ! Pas top, mais on n'a pas le choix !